L’esprit de Noël s’invite à Buis-sur-Damville ! Le samedi 6 décembre, l’Association Buissonnière organise son traditionnel Marché de Noël, au profit de l’école du village. L’événement se tiendra à la Salle des Fêtes de Buis-sur-Damville, de 10h à 19h.
Un marché aux mille saveurs et créations
De nombreux artisans et créateurs seront présents pour faire découvrir leurs réalisations : céramiques, bijoux, fleurs, cosmétiques, bougies, miel, paniers garnis et bien d’autres idées cadeaux originales.
Des animations pour toute la famille
Tout au long de la journée, le marché proposera plusieurs animations :
Balades en calèche et tours de poney
Maquillage pour enfants
Rencontre avec le Père Noël
Vente de sapins de Noël (sur réservation)
Et pour se réchauffer, les visiteurs pourront profiter d’une buvette, de crêpes et du traditionnel vin chaud.
Une soirée tartiflette pour clore la journée
La fête se poursuivra en soirée avec une grande tartiflette dansante, un moment convivial pour terminer cette journée magique dans la bonne humeur.
Renseignements et réservations : 06 59 74 89 17
À la mort de sa mère, une très jeune fille se fait la promesse de ne jamais cesser de penser à elle plus de cinq minutes... Elle suit son père dans une maison de verre où les attend une nouvelle famille. Cette Cendrillon nous parle de deuil, du désir de vivre, du pouvoir de l’imagination, des mensonges des adultes avec une délicatesse qui n’exclut pas l’humour, Joël POMMERAT aborde encore une fois les questions graves et vitales de l’enfance.
Synopsis :
Amoureux de la nature et des rencontres interculturelles, le virtuose de la kora Ballaké Sissoko et le songwriter Piers Faccini dialoguent depuis plus de vingt ans, chacun participant aux projets de l'autre dans une alchimie acoustique poétique.
Des racines italienne et irlandaise, né à Londres, vivant dans les Cévennes, Piers Faccini aime à brouiller les géographies et à conjuguer au pluriel les notes du monde. Le malien Ballaké Sissoko a fait des rencontres et des métissages son chemin artistique en collaborant, entre autre, avec l’Irlandais Ross Daly, le Malgache Rajery ou le jazzman Vincent Segal.
Les chansons du duo créent une alchimie musicale qui unit et fusionne, tout en gardant les deux voix distinctes et les traditions intactes. Leur premier album commun Our Calling en atteste et se veut un conte humaniste, une ode sonore et narrative à la migration, hommes et oiseaux confondus.
Synopsis :
Dans les rêves de Phia Ménard, il y a Le Tambour, un film de Volker Schlöndorff d’après Günter Grass et Oskar, ce petit garçon qui refuse de grandir dans un monde rongé par le nazisme. Il y a le livre Et la lumière fut dans lequel Jacques Lusseyran raconte comment sa cécité a pu compter dans son engagement dans la Résistance. Côté arts plastiques, Alexander Calder, Niki de Saint-Phalle, Louise Bourgeois et Joseph Beuys sont évoqués. Cet ensemble est passé entre les nappes et l’intelligence sonore du compositeur Ivan Roussel.
Phia Ménard choisit d’être au plus près des spectateurs, assis sur des gradins en cercle. Au-dessus, d’immenses personnages et animaux gonflables surplombent la scène. Énormes silhouettes portées par le souffle de ventilateurs comme une gigantesque parade aérienne, une ronde insolite et envahissante, un voyage de danses indomptables, parfois macabres, toujours absurdes, déjà présentes dans Vortex et L’Après-midi d’un foehn, les autres Pièces du Vent.
Pour parler de son spectacle, Phia Ménard évoque un tunnel qui laisse entrevoir la lumière au bout. Un parcours semé d’obstacles mais dont il est possible de sortir tel « un peuple en lutte contre une nuit qui doit prendre fin
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